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Hommage à Charlie

 Communiqué du Parti de Gauche en Moselle

Nous marcherons dimanche, pour Charlie, loin de toute récupération.

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Dimanche, nous serons dans la rue, pour rester debout !

Les événements qui viennent depuis mercredi de bousculer nos certitudes ont provoqué partout sur le territoire des réactions de solidarité avec les victimes du fanatisme qui a poussé des tueurs à commettre des assassinats politiques.

Nous descendrons dans les rues des villes de Moselle pour rendre hommage à ceux qui sont tombés sous des balles meurtrières. Nous serons dans les rues pour revendiquer les principes de liberté et de laïcité qui étaient ceux des journalistes exécutés en plein travail.

Malheureusement, force est de constater que ces marches citoyennes et républicaines sont largement dénaturées. En prenant la décision d’inviter certains chefs d’État dont la nature même de la politique est opposée à l’esprit de Charlie Hebdo, le président de la République française s’éloigne du message d’antiracisme, d’antifascisme et de laïcité qui constituait l’essence même du journal.

Nous ne laisserons pas le pavé de nos villes à tous ceux qui voudraient se refaire une conscience sur le souvenir de nos amis journalistes. C’est pourquoi le Parti de Gauche, membre du Front de Gauche, sera présent dans toutes les manifestations en Moselle et ailleurs, mais en retrait du carré de tête. Au nom de l’inaliénable liberté d’expression, de la laïcité et du refus de tous les intégrismes, nous serons à Metz, place Mazelle, à partir de 15 heures.

Ici comme partout, nous ne nous tairons pas !

Le comité départemental du Parti de Gauche en Moselle.

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on vous l’avait dit…

… c’est pas Noël !

manif florange 2014

On va donc devoir s’y faire, chaque année désormais, la Moselle du Nord aura droit à sa visite présidentielle. Si on compte bien, il en reste 3…

Lundi 24, François Hollande s’en est venu honorer SA promesse de Florange. Recréer de l’industrie ? Pérenniser la sidérurgie dans la vallée de la Fensch ? Nationaliser les hauts-fourneaux ? Apporter des emplois aux sous-traitants oubliés dans les calculs ? Non, rien de tout cela. Après tout, on est encore à un mois du jour de Noël. Simplement, il avait dit qu’il reviendrait, alors il est revenu.

Il a inauguré un local en ruines dans lequel va s’installer un centre de recherches, en oubliant qu’il en existe un, déjà, à 20 km de là !

Il a rencontré tous les acteurs du site. Tous ? Pas vraiment, non. Puisque la CGT et FO avaient décidé de décliner l’invitation élyséenne.

Devant l’usine, une cinquantaine de syndicalistes attendaient le passage du cortège présidentiel. Mais n’écoutant que son courage, le président est entré par une porte dérobée, évitant ainsi les sifflets, les drapeaux et les pancartes de la CGT.

Où sont passées les promesses de campagne ? Où sont les millions d’euros qui devaient revitaliser la vallée ? Où sont les flamboyants ministres qui l’accompagnaient jusque là ? Aurélie Filipetti, la régionale de l’étape se répand dans la presse. Que n’a-t-elle rendu son maroquin en décembre 2012, au jour de la trahison… Toutes ces bassesses ont répandu dans la vallée le terreau du Front national. Dont François Hollande a salué les représentants au cours du repas qui a suivi en Préfecture.

Hier, une fois encore, le président de la République a déçu ceux qui ont contribué à le faire élire. De son passage, il restera cette lâcheté, ce manque du respect dû aux travailleurs de l’acier. Ceux qui « n’attendent plus rien de ce personnage », comme l’a dit Lionel Buriello secrétaire général de la CGT métallurgie aux médias locaux.

Comme son prédécesseur, François Hollande confond politique et communication. Les salariés ont cessé d’être dupes.

brigitte blang

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Tous place de la Nation à Paris

DIMANCHE 30 SEPTEMBRE

pour demander un véritable débat national public et que notre peuple puisse se prononcer par référendum.

Tous place de la Nation à Paris

TSCG

Dès maintenant, les inscriptions sont ouvertes par téléphone au 03.87.71.40.06

(aux heures d’ouverture des bureaux : du lundi au vendredi de 8H00 à 12H00 et de 14H00 à 18H00)

Une participation de 20,00 € par personne est demandée.

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Droit de réponse au Petit Journal par Eric Coquerel

Communiqué d’Eric Coquerel, conseiller spécial de Jean-Luc Mélenchon

Pourquoi je demande un droit de réponse au Petit Journal

Coquerel Aveuglé par une fixation tenace, Yann Barthes a une nouvelle fois, lundi soir, imprudemment franchi la ligne jaune à l’encontre de Jean-Luc Mélenchon et du Front de Gauche. Cette fois, à travers moi, il a tout simplement expliqué que nous disions “n’importe quoi”, autrement dit que nous étions des menteurs.

La cause de ce courroux : mon interview à l’émission de Jean-Marc Morandini lundi matin sur Europe 1 où, témoin d’évènements couverts par Le Petit Journal, je démontais la manipulation et la déformation de plusieurs sujets de cette émission. Sur les 20 minutes de cette émission radio, l’équipe du Petit Journal s’est manifestement gratté la tête pour contester mes dires. Barthès m’a finalement accusé de mentir sur une phrase : j’évoquais un journaliste de France 3 ayant protesté contre un tournage caméra caché du Petit Journal. Ayant déjà tendance à vouloir s’extraire de la case divertissement qui est la sienne sur Canal Plus pour s’imaginer dans celle de l’information, Yann Barthès et son équipe se sont cette fois carrément pris pour des journalistes d’investigation. Facile, n’est-ce pas : un responsable politique est forcément un menteur non ? Problème : quand cela se double de précipitation et de malhonnêteté cela retombe sur le nez des Rouletabille de pacotille. Et Barthès de diffuser un bout de phrase du rédacteur en chef adjoint de France 3 Metz, Cyril Destracque, à l’appui de sa démonstration. Résultat, il a tout faux, et au grattage et au tirage… Si le Petit Journal m’avait contacté, je leur aurais donné ma source : en l’occurrence le rédacteur en chef de Arrêt sur Image, Daniel Schneidermann, dans une émission dont j’étais l’invité. Arrêt sur image a donc diffusé, dès mardi, sur Internet le mot de protestation du JRI de France 3 qui confirmait mon propos. Mais l’histoire ne s”arrête pas là : Cyril Destracque, le journaliste de France 3 appelé à la barre de l’accusation contre moi, a révélé mardi avoir été enregistré par le Petit Journal à son insu et malgré son refus affirmé ! L’article d’Arrêt sur Image ( http://www.arretsurimages.net/contenu.php?id=4708 ) démontre que ses propos ont du coup été tellement raccourcis qu’ils sont sur-interprétés.

Tout cela suffit. En introduisant cette séquence par un “ça nous gave donc on imagine que ça vous gave aussi”, Yann Barthès indique bien le message qu’il entend porter auprès de ses téléspectateurs. En pleine campagne électorale, le préjudice politique est évident pour le Front de Gauche. Il l’est aussi personnellement car je n’accepte pas que l’on me traite ainsi de menteur sans aucune preuve. Je demande donc officiellement un droit de réponse non monté et proportionnel au préjudice commis.

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Continental Sarreguemines

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Photos Rémy Blang

Ils avaient annoncé leur venue à Sarreguemines, siège français de Continental, pour début février. Une délégation de six personnes du comité de lutte de Continental Clairoix a effectivement fait le déplacement depuis l’Oise, hier. Elle a rencontré la direction dans la matinée « pour discuter de la réalisation des engagements signés en décembre », explique Roland Spirko, membre du comité. La période de reclassement des salariés de Clairoix, dont l’usine a fermé en 2009, devait s’achever le 31 décembre. Elle a été prolongée de six mois. « Il y a encore 300 personnes qu’il est vital de reclasser », poursuit-il. De son côté, la direction de Continental indique que, depuis la mise en place de la cellule en janvier 2010, 610 salariés sur les 1 120 que comptait le site de Clairoix ont retrouvé une solution professionnelle ou personnelle et ont ainsi pu quitter le congé de mobilité avant son terme. « 6,5 % des salariés finalisent actuellement leur projet, 14 % sont en recherche d’emploi après avoir finalisé et 11,5 % ne sont pas dans un processus de recherche d’emploi. Mais ces chiffres ne satisfont pas le comité de lutte. Et hier, à l’heure du changement de poste, la délégation en a aussi profité pour distribuer un tract aux salariés de Sarreguemines. Et les appeler à prendre part à un grand rassemblement devant leur usine vendredi 10 février, de 12h à 15h. Ce jour-là, 150 à 200 Conti de Clairoix auraient prévu de faire le déplacement en Moselle-Est.

Kamal Berger

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Meeting Jean-Luc Melenchon 18 janvier 2012 à Metz

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Marie-George Buffet, Martine Billard Co-présidente de PG et Laurence Sauvage Secrétaire nationale en charge des Luttes sociales au PG en déplacement chez ARCELOR Gandrange pour le projet d’aciérie électrique de la CGT

Article du RL signé Alain Morvan :

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Photo Gilles Wirtz

Alors que Florange est sous tension, la CGT d’ArcelorMittal relance l’idée d’une reprise du site de Gandrange, sacrifiée en 2008. Le projet d’aciérie électrique a été présenté, hier, à Marie-Georges Buffet (PCF, Front de Gauche).

Hier, la CGT d’ArcelorMittal Gandrange a voulu faire coup double en s’associant au Front de Gauche, en la personne de Marie-Georges Buffet (au centre), pour dévoiler « son plan industriel alternatif ». Photo Gilles WIRTZ

Alors que Florange refuse de mourir, Gandrange refait surface. Au moins dans l’actualité. Ces deux sites clé de la sidérurgie lorraine sont propulsés, depuis des mois, au cœur de la campagne présidentielle. Point de ralliement de l’anti-sarkozysme à gauche, ils représentent également le symbole d’une industrie régionale qui veut résister aux projets financiers mondialisés d’ArcelorMittal.

Hier, la CGT de Gandrange a voulu faire coup double en s’associant au Front de Gauche, en la personne de Marie-Georges Buffet, pour dévoiler « son plan industriel alternatif », selon Jacky Mascelli, son délégué syndical. Comme un clin d’œil, Jean-Luc Mélenchon, candidat du FG, fort de ses 9 % dans la course à la présidentielle (lire RL d’hier) provoquait Nicolas Sarkozy en ces termes sur France Info dans la matinée : « S’il a quelque chose à dire au peuple, je lui suggère d’aller à Gandrange, à qui il a beaucoup menti et à Florange (où) il a beaucoup promis sans rien tenir ».

Pendant près de deux heures, le syndicat a détaillé l’idée de construire une aciérie électrique à Gandrange pour donner un avenir au laminoir à couronnes et à barres (LCB) et aux 350 personnes rescapées du site, après la perte de 575 emplois en 2008 (après la fermeture de l’aciérie et du train à billettes). « Ce serait l’emblème d’une nouvelle politique industrielle en France. Au-delà des mots que tout le monde a à la bouche aujourd’hui. On jugera aux actes », cogne Jacky Mascelli. En résumé, une aciérie électrique sur place mettrait fin à l’approvisionnement grande distance actuel (Duisbourg, Varsovie, Hambourg) – très coûteux et antiécologique – pour le LCB et le pérenniserait « dans un contexte très porteur pour les aciers longs carbone ». Proche dans l’esprit, de l’offre faite il y a quatre ans par feu Jean Kiffer, maire d’Amnéville et un géant brésilien de l’acier, il nécessite un investissement de 120 M€ amortis « sur 25 ou 30 ans » et s’appuierait sur « une structuration de la filière ferrailles en Lorraine », explique-t-on à la CGT.

350 emplois en sursis d’ici deux ans

Marie-Georges Buffet est ravie de servir de chambre d’écho au projet. « Alors que bon nombre de candidats à la présidentielle et aux législatives redécouvrent qu’il y a des ouvriers dans notre pays, ils seraient bien inspirés de prendre exemple sur la CGT de Gandrange, qui présente des solutions industrielles d’avenir. Parce qu’il ne faut pas se le cacher, sans cela, Gandrange n’a pas plus deux ans devant lui ». En substance, il s’agit ni plus ni moins que de maintenir « des filières de production dans notre pays et l’État a toute sa place pour soutenir ces initiatives ». Dès le 7 mars prochain, le Front de Gauche, qui creuse son sillon auprès des ouvriers, réunira, à Paris, les syndicats des entreprises laissées pour compte de la mondialisation et, pour certaines, reprises par leurs salariés, à l’instar de Pétroplus, Fralib, Arkéma… Localement, cependant, le principe de réalité impose de rappeler que, comme en 2008, Mittal n’est pas vendeur de Gandrange. Et que ce plan n’est toujours pas parvenu sur le bureau du géant de l’acier. « L’État peut s’investir ou même un autre industriel. C’est une question de choix politique et de volonté », essaie l’ex-candidate du PCF à la présidentielle de 2007.

Alain MORVAN.

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Meeting du 18 Janvier 2012 – Jean-Luc Mélenchon et Oskar Lafontaine au palais des sports Saint Symphorien de METZ à 19h30

(Tract)

 

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Pour les départs en bus : Réservations obligatoires.

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Saint Augustin, Bitche

Réaction de Brigitte Blang dans le Républicain Lorrain du 08/12/2011

Article

Brigitte Blang, membre du bureau national du Parti de Gauche, de la commission éducation, écrit suite à l’annonce de la fermeture du Saint-Augustin.

« Le collège privé Saint-Augustin de Bitche va fermer ses portes en 2012. Cette nouvelle a semé l’émoi dans la région tant il est vrai que la disparition d’une entreprise est toujours un drame pour ceux qui en vivent […]. Et nombreux sont les citoyens qui ont pris la parole à cette occasion.

A son tour, le Parti de Gauche voudrait ajouter sa voix à toutes celles qui se sont exprimées dans ces colonnes. Une voix dissonante, certes, mais peut-être pas totalement inutile au milieu d’un concert de louange, dont il ne nous appartient pas de juger si elles sont ou non justifiées.

Nous apprenions qu’un des vice-président du conseil régional, déplorant la fermeture de son ancienne école, précisait ici même que :  » Ce lycée avait des opportunités pour se développer. Il aurait pu trouver sa place. J’ai évoqué avec Mgr Raffin la création de formations sur la filière bois. » Propositions généreuses, certes, mais dont nous espérons qu’elles se reportent à présent sur un des lycées publics de la région.[…]

Le Parti de Gauche rappelle ici qu’il a vocation, en tout lieu, à défendre le service public et laïque d’éducation. Un service public qui plonge ses racines dans les valeurs du bien commun. Un service public qui aurait besoin, lui aussi, d’être soutenu à l’heure ou il voit fondre les effectifs de ses enseignants et les moyens qu’on lui alloue. »

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transport de déchets nucléaires Castor en gare de Rémilly

La Coopération Saar-Lor-Lux des Partis de Gauche a été très active durant ces derniers jours le long de la voie ferrée empruntée par le train des déchets nucléaires.
Pour une fois la presse était présente en nombre pour relayer les actions menées le long du parcours.
Vous trouverez ci-dessous, les photos et un lien pour une vidéo de N-TV, du transport en douceur de notre adhérente du PG57 Jutta Adam qui a fait la une de la ‘Saarbrücker Zeitung’ hier.
Nous n’avons pas réussi à arrêter ce transport mais il a mis 34 heures à relier la gare de Rémilly à celle de Neunkirchen (45 km)
Un grand bravo aux jeunes de nos partis qui ont constitué le gros des troupes et qui n’ont pas ménagé leurs efforts pour franchir les obstacles, champs, collines, barrières de la police etc. pour atteindre les voies.

Photo

Vidéo

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