Archives du Jour : 9 novembre 2014

SOS forêts

SOS Forêts PDF Imprimer Envoyer
Mardi 28 juin à 13 heures 30
DT ONF Lorraine – rue Girardet
àNancy

Venez-nombreux  nous soutenir !!
pour co-voiturage depuis Metz me contacter
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+ d’infos sur notre mouvement SOS Forêts fédérant à ce jour 38 organismes,
et la pétition nationale SOS Forêts à faire signer autour de vous

http://sosforets.wordpress.com/
http://www.petitions24.net/sos_forets_-_petition_nationale

Les pétitions « papier » peuvent aussi être envoyées à
MIRABEL LNE – SOS Forêts
01 rue des récollets, 57000 Metz

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Un combat de fond pour sauver les forêts françaises du retour au productivisme mercantile
instauré par le gouvernement actuel est lancé,
un combat pour une gestion forestière durable, écologique et sociale.

Aux arbres citoyens !

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Vote du PCF pour Jean-Luc Mélenchon

Communiqué du Parti de Gauche suite au vote des militants Communistes

 

 

Le Parti de gauche se réjouit  du vote clair des adhérents communistes en faveur de la candidature de Jean-Luc Mélenchon. Le choix définitif formulé ainsi par le PCF après celui de la Gauche Unitaire, de la FASE et, naturellement, du Parti de Gauche, donne du sens à la dynamique politique du Front de Gauche engagée depuis les dernières élections européennes. Cela confirme bien qu’il existe à gauche  une alternative unitaire et conquérante face à Nicolas Sarkozy et Marine Le Pen.  Un autre vote à gauche est possible, celui pour une révolution citoyenne pacifique et démocratique qui mettent fin au règne de l’oligarchie en France.

Le Front de Gauche peut désormais se lancer dans la campagne présidentielle et législative fort de tous ses atouts. Il incarne l’unité, comme va le confirmer dans les jours à venir son élargissement à plusieurs mouvements politiques. Il est le seul à appeler à une implication populaire forte à travers des assemblées citoyennes. Il est le seul, enfin, à porter l’ambition de regrouper une majorité pour gouverner la France sur un programme de radicalité concrète,  sociale, écologique et républicaine.

Le Parti de Gauche est heureux aujourd’hui car il s’est créé dans cet espoir et n’a jamais eu de cesse  d’en faciliter l’avènement.  Ses militants sont fiers que le candidat à la présidentielle du Front de Gauche vienne de ses rangs.

Mais ils savent désormais que Jean-Luc Mélenchon ne sera plus leur porte-parole mais celui du Front de Gauche tout entier. Pour eux et avec eux, il parlera à tous les citoyens pour qu’ils fassent naitre la nouvelle République du partage et de la planification écologique.

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10 mai 1981

mitterrand_affiche On avait fait une campagne comme jamais. En 74 déjà, on n’avait pas laissé notre place aux autres, mais là, jour et nuit, dès qu’on avait un quart d’heure, on décorait les murs, on remplissait les boites aux lettres, on battait le pavé. Et puis était arrivée LA date. Celle qu’on ne voulait rater pas pour tout l’or de l’empire. On est allé voter le matin. Le temps ne passait pas, les heures duraient des siècles, et rien ne pouvait calmer cette angoisse qui montait. 7 ans plus tôt, on y avait tellement cru. Pour se retrouver pleurant devant la télé, merci bien…

À tourner en rond, 20 heures a fini par arriver quand même. Un quart d’heure avant, on avait vu Duhamel, et Elkabach. Pâlots, les duettistes. On se prenait à y croire. Comme on dit dans de mauvais romans : Et si c’était vrai ? Quand l’image s’est dévoilée, d’abord on n’a pas trop osé crier, parce que finalement, les deux têtes avaient le même sommet ! Et puis tout à coup, c’est devenu réel, on avait gagné. Ce soir-là, ce n’était pas François Mitterrand le vainqueur.

C’était nous, toi, moi, Robert, Serge, François (un autre François !) et tous les autres. Le téléphone s’est mis à sonner de partout. Les bouchons sautaient. On ne savait pas bien chez qui on allait faire la fête. On ne savait pas bien non plus comment on allait faire la fête. On n’avait jamais rien gagné, nous.

On ne savait pas trop par quel bout la prendre cette victoire. Nos parents nous avaient bien raconté 36. Mais bon, nous on voulait faire du neuf, du jamais vu. On est parti dans tout le canton, klaxons bloqués, drapeaux aux portières, capotes des deuches baissées, assis sur les capots. Ça swinguait sévère, je vous prie de croire. Et c’était mieux que bien. Chez le copain qui avait prévu les bouteilles et les sandwiches, bizarrement, on était nombreux. Beaucoup plus que pendant la campagne… Les soirs de victoire, les militants ça se multiplie, vous l’avez remarqué aussi, j’en suis sûre ! On a fait des trucs complètement imbéciles, comme de tirer des coups de fusil en l’air. Un relent d’Amérique latine et de révolution ! On s’est tous assis par terre pour écouter le Président parler. Pour l’écouter nous dire : « Nous avons tant à faire ensemble ». Il s’est mis à pleuvoir, comme à Paris, où nous n’étions pas. Et on a crié dans la rue : « Mitterrand, du soleil ! ». Rien de grave, on était heureux. On avait gagné… On a un peu pleuré aussi. On a beaucoup embrassé les voisins qui venaient boire un coup, même si, peut-être, tous n’avaient pas voté comme nous. Et alors, aux législatives de juin, ils s’en souviendraient de ce soir-là !

On est rentrés au petit matin. L’école, ça commence à 8 heures, même les lendemains de victoire. Il nous restait quelques bouteilles qu’on a vidées avec les copains à midi, en salle des profs. En 81, les salles des profs votaient à gauche. On a refait l’histoire, raconté les anecdotes de ces deux mois derniers. Le curé qui avait appelé à voter Giscard au premier tour parce qu’on allait lui fermer son église, et à qui nous étions allés causer du pays un soir. Le marchand de journaux qui croyait qu’on allait lui collectiviser son échoppe. Les gars dans les réunions publiques qui craignaient qu’on abroge le Concordat. C’était il y a 30 ans. On s’engueule encore avec les mêmes aujourd’hui !

C’est après que tout a commencé. La grande histoire. Les belles heures. Le Panthéon, et ceux qui apprenaient qui était Schœlcher. La guillotine envolée pour de bon, 110 ans après la Commune. La retraite à 60 ans et tout le reste. Alors bien sûr, nous on n’y est pas pour grand-chose. Mais tout de même, nos nuits sans sommeil à coller, à differ, même qu’on disait encore distribuer en ce temps-là, c’est vous dire si c’est vieux ! toute cette belle énergie, ça avait quand même servi un peu à vivre cette aventure, non ? Ces jours-ci, vous allez en trouver une palanquée qui se diront déçus du socialisme. Laissez-les dire. Ne leur énumérez pas le bilan. S’ils l’ont oublié, c’est qu’ils n’ont pas beaucoup vécu avant. Nous, on ne regrette qu’une chose : c’est de n’avoir pas été plus opiniâtres sur la question scolaire. Parce que nous aussi nous étions des millions à vouloir que l’école change et on ne l’a pas montré. Et on a eu tort. Mais n’empêche, ce 10 mai-là, on a écrit une page d’histoire. Et ça, ce n’est pas rien…

brigitte blang

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8 mai 1945

Écrit par Brigitte BLANG

setif

Sauf que souventes fois, on oublie de souligner que le 8 mai 45, plus loin, là-bas, de l’autre côté de la Grande Bleue, il se passait d’autres événements, qui allaient eux aussi changer largement la vie de pas mal de monde.
La révolte de Sétif marqua le début de ce qui allait, 9 ans plus tard, devenir la « Toussaint rouge », le 1er novembre 54. La guerre qui vient de s’achever a aiguisé les nationalismes, en Afrique du Nord comme ailleurs. La situation des « musulmans » algériens, citoyens de seconde classe devient pour certains insupportable.

Dès le printemps, le bruit court chez les pieds-noirs de l’imminence d’un soulèvement des populations musulmanes, soulèvement exacerbé par une pénurie alimentaire plus qu’aigüe. Des manifestations se déclenchent le 1er mai dans toute l’Algérie, manifestations pacifiques mais on y voit pour la première fois le drapeau algérien. À Alger, à Oran, pourtant, on relèvera des morts.

À Sétif, une manifestation de 10000 personnes, censée fêter la victoire des Alliés, prend vite une autre tournure : l’hymne nationaliste « Min Djibalina » et des pancartes « À bas le colonialisme » prennent le devant de la scène. Le dérapage est rapide. Un commissaire veut arracher le drapeau, on le jette au sol. Un jeune homme portant ce drapeau est abattu. Les policiers tirent, la panique gagne. Les manifestants s’en prennent aux Français. Il y aura 28 morts à Sétif. La rumeur se répand, les émeutes aussi. Des fermes sont attaquées, les fermiers assassinés.  À Guelma, le sous-préfet fait tirer sur la foule des manifestants. Des violences contre les Européens sont commises. 102 d’entre eux seront tués.  La répression sera d’une incroyable violence. Toutes les forces armées y participent, marine, aviation, Légion étrangère, et même des milices. On canonne, on bombarde, on rase des villages, on incendie des mechtas, on tire sur la population, on mène la chasse. La folie va durer deux mois. Les cadavres sont brûlés dans des fours à chaux, disparaissent dans les puits, les rivières. 4500 arrestations, 22 exécutions capitales, 64 condamnations aux travaux forcés sont prononcées. Le 22 mai, le soulèvement prend fin.  Officiellement. Mais c’est pourtant là que tout commence… Qui organise les cérémonies de soumission qui vont se succéder? Va savoir… De soumission ? D’humiliation, plutôt. Et qui n’empêchent pas les exécutions sommaires, après que les hommes se sont prosternés devant les symboles de la République française…Il faut bien parler de bilan, pourtant, même si le mot a ceci de terrible qu’il réduit à des chiffres ce qui sera le levain de la Révolution algérienne, de sa guerre de libération.   Le général français Tubert rédigera un rapport après les massacres, il parlera de 15 000 tués dans les populations musulmanes. Mais la mémoire algérienne, elle, retiendra longtemps le chiffre de 45000. « La raison d’Etat, la commodité d’une répression aveugle et massive permettant de châtier quelques coupables parmi les milliers d’innocents massacrés, l’immunité administrative de « fait » couvrant par exemple, le sous-préfet de Guelma, fit délibérément et sans excuse arrêter et fusiller, sans autre forme de procès, des musulmans de la ville dont les familles réclament encore en vain une enquête, un jugement ou même une simple explication. » Les frustrations finissent toujours par semer la révolte. Les émeutes de Sétif ne sont pas arrivées par hasard. Et l’inéluctable montée de violence qui suivra, non plus. Aucun changement, aucune réforme, le système colonial s’enferre, et les forces nationalistes vont s’unifier… Et la guerre d’Algérie va germer.

Si, comme moi, vous avez une passion pour ce pays, et même si ce n’est pas le cas, lisez ce qui suit. Vous verrez, des écrivains, des vrais, des « patentés » qui racontent, qui expliquent, qui revendiquent la vérité « oculaire ». À commencer par Kateb Yacine, qui était lycéen à Sétif : « C’est en 1945 que mon humanitarisme fut confronté pour la première fois au plus atroce des spectacles. J’avais vingt ans. Le choc que je ressentis devant l’impitoyable boucherie qui provoqua la mort de plusieurs milliers de musulmans, je ne l’ai jamais oublié. Là se cimente mon nationalisme. » Sans oublier Camus, évidemment, pouvait-on l’espérer ailleurs ? Dans « Combat » ce mois de mai 45, il demande qu’on applique aux Algériens les « principes démocratiques que nous réclamons pour nous-mêmes ». Il affirme qu’il y a crise — et non de simples incidents — que « le peuple arabe existe », qu’il « n’est pas inférieur sinon par les conditions où il se trouve ». Et il proclame que « l’Algérie est à conquérir une seconde fois ».

Alors, quand vous verrez à la télé notre président parader à l’Arc de Triomphe, pensez à Sétif… C’est si loin, Sétif. C’est si près, Sétif. C’est un peu de notre histoire commune, de notre histoire d’êtres humains qui s’est écrite là-bas, de l’autre côté de la « mare ».

brigitte blang

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Que les oligarques s’en aillent tous !

Écrit par Brigitte BLANG
Au fil du quinquennat de Nicolas Sarkozy, l’impression de vivre davantage dans une oligarchie que dans une démocratie s’est intensifiée. La puissance de ceux d’en haut s’est accrue pendant que la faiblesse de ceux d’en bas ne cessait de s’accentuer. Tout avait été dit dès le départ : le dîner du Fouquet’s allait marquer du sceau de l’oligarchie le mandat de Nicolas Sarkozy. Plus qu’un symbole, ce fut une signature. Ceux qui seraient là se partageraient le magot.

La crise n’a rien changé à tout ça. Elle a au contraire accentué cet état de fait, étant un prétexte pour figer le SMIC, geler le traitement des fonctionnaires, excuser les délocalisations et donc les licenciements. Dans le même temps, le bouclier fiscal et les exonérations pour les plus riches continuaient.

L’affaire Woerth-Bettencourt a montré aux Français crûment cette incroyable injustice : pendant que le pouvoir d’achat des salariés baisse, l’Etat remet des chèques aux milliardaires de notre pays d’un montant excédant parfois des dizaines de millions d’euros ! Qui peut alors douter que ce n’est pas le peuple qui gouverne par le peuple et pour le peuple, mais bien un petit groupe de privilégiés, qui gouverne par et pour ce petit groupe d’ultra riches !

La popularité du chef de l’Etat, légitimement perçu comme le bras armé de cette oligarchie, est tombée en flèche. Mais la droite n’est jamais à l’abri d’un artifice trompeur. « Vous ne voulez plus du bouclier fiscal ? D’accord, je le retire ! », dit-il tout haut. « Mais comment continuer à aider ceux pour qui j’ai été élu, les oligarques ? », dit-il tout bas.

Simple comme bonjour : « j’enlève le bouclier fiscal mais j’allège l’ISF ! » Président zélé des plus riches, il trouve encore le moyen d’accroître la fortune de ceux qui ont déjà bien trop. Le mécanisme vous est détaillé dans le cadre ci-après. Atterrant. Une impunité pareille n’est possible que lorsque le peuple consent. « L’inertie des peuples est le meilleur rempart des tyrans », écrivait Machiavel, pour en conseiller un. Ce rempart se fissure à force d’abus. Un regard vers l’Amérique du Sud par delà l’océan Atlantique et vers l’Afrique du Nord par delà la Méditerranée suffit à s’en convaincre.

Plus que jamais, « Qu’ils s’en aillent tous !» est un mot d’ordre de salubrité politique.

Gabriel Amard (Bureau national du Parti de gauche)

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Services publics en danger

Écrit par Brigitte BLANG
arf-2 L’ARF, présidée par Alain Rousset, président socialiste de la Région Aquitaine, vient de présenter à la presse son projet d’« acte III de la décentralisation ».

Il y est clairement affirmé qu’il faut « privilégier la contractualisation plutôt que le vieux modèle jacobin » la France doit tendre au modèle fédéraliste d’autonomies régionales tel qu’existant en Espagne, en Italie ou en Allemagne.

Le pacte républicain qui unit, depuis la Révolution française, notre Nation disparaît totalement. A l’heure où les inégalités sociales et territoriales de notre pays se sont aggravées sous les effets néfastes des politiques libérales, à l’heure où nos concitoyens sont sans cesse triés selon leur pseudo appartenance religieuse, d’origine… il est irresponsable de tirer à boulet rouge sur notre Etat.

Le Parti de Gauche exprime son désaccord total avec un tel projetau moment où le service public est attaqué et affaibli par la RGPP, le démantèlement de l’Education Nationale, la situation faite à Pôle Emploi après une fusion imposée et sans moyens pour exercer ses missions.

Nous dénonçons et combattons la RGPP tout comme la réforme des collectivités territoriales inspirées par la même politique de destruction des services publics, de mise en concurrence des territoires et des citoyens.

 

Le Parti de Gauche n’aura de cesse de se battre et proposer un programme allant dans le sens de l’intérêt général et de redonner à nos concitoyens tout le pouvoir qui est le leur. Ce n’est pas l’échelle géographique qui fait le « plus de démocratie » mais le respect de la souveraineté populaire et la réappropriation des biens communs par chacun.

5 mai 2011

 

François COCQ

Secrétaire National à l’Education et aux services publics

Magali ESCOT

Responsable de la commission Services publics

serv-publics

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Cattenom

Manifestation organisée par le collectif contre la centrale de Cattenom dans le cadre de notre politique de sortie du nucléaire.
Ce collectif étant initié par les écologistes allemands, avec en son sein, des élus et adhérents d’EELV, le gros des troupes était constitué de manifestants allemands avec lesquels s’étaient déplacés les partis politiques d’outre Rhin, et les organisations françaises en dehors des associations et mouvements écologistes n’étaient représentés, pour les partis politiques, que par: Le Parti de Gauche, EELV et le NPA.

Sur le terrain, nous nous sommes associé à ‘Die Linke’ ce qui nous a permis de hisser nos couleurs parmi le groupe le plus important de ce rassemblement.

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1er mai

Dimanche 1er Mai nous étions installés devant la gare de Metz de 9h00 à 11h00 à l’occasion du rassemblement avant le départ de la manifestation de l’intersyndicale.
 
Jusqu’au départ de la manifestation nous avons distribué tracts et autocollants et avons renseigné nos visiteurs sur le Parti de Gauche

Nous avons ensuite renforcé les rangs des syndicats en ralliant le défiler avec nos drapeaux.

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Communiqué de Jean-Luc Mélenchon

L’élection de Martin Schultz encre la connivence entre socialistes et droite en Europe

 

« Je serai absent de Strasbourg mardi 17 janvier (matin). Tant mieux !
Je suis très heureux de ne pas participer à la mascarade de l’élection du social-démocrate Martin Schultz, candidat commun des socialistes et de la droite à la présidence du Parlement européen. Je dénonce la collusion et les renvois d’ascenseur entre les socialistes et la droite dans les institutions européennes. En pleine agression de la finance contre les peuples en général et contre la France en particulier, je n’apporterai  pas mon soutien à cette collaboration sans principe. L’Union des « oui » au Traité de Lisbonne est devenue l’union du « oui » à l’austérité et au libéralisme ! Martin Schultz en est la caricature. Il a voté, entre autres,les résolutions en faveur des sanctions contre les dépassements de déficits autorisés, les nouveaux pouvoirs des agences de notation, la libéralisation du gaz et le paquet ferroviaire sans oublier la directive service. 
Il avait voté pour le président de droite du Parlement. Il est récompensé pour ses bons et loyaux services. Sans moi ! 
Pour ma part, à la même heure, je reçois Bernard Thibault, et je préfère cela ! »

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Communiqué de presse

 

fdg

Communiqué de presse
Paris, le 05 janvier 2012

 

Le Front de gauche et la Confédération paysanne se rencontrent
pour échanger sur les priorités pour le monde agricole
Les responsables du Front de gauche de l’agriculture ont rencontré les dirigeants de la Confédération
paysanne, mercredi 4 janvier, afin d’échanger dans la perspective des prochaines échéances
électorales.
Au terme de cette rencontre, les deux organisations se sont accordées sur les priorités qu’un
gouvernement de gauche devra poursuivre au cours de ses premiers mois aux responsabilités :
•Garantir des prix stables et rémunérateurs aux producteurs, sur la base notamment de la
proposition de loi Chassaigne déposée le 1er décembre à l’Assemblée nationale par les élus du
FDG1

•Mettre en place de la représentativité syndicale à la proportionnelle au sein des différentes
instances de décision, avant les élections professionnelles de janvier 2013
•Favoriser l’accès au foncier en stoppant la concentration des exploitations par l’instauration
d’une surface maximale d’exploitation, dans le cadre de l’objectif à terme de re-créer 300 000
emplois agricoles
•Mettre fin au scandale du sous-statut social au sein du monde agricole, par la revalorisation
des retraites à 1 000 euros, et la suppression du statut de « cotisant solidaire »
Au cours des prochaines semaines, le Front de gauche rencontrera les organisations professionnelles
agricoles et les associations pour échanger sur ses propositions, sur la base de son Appel lancé aux
personnalités et citoyens concernés par la promotion d’une agriculture paysanne, écologique et
relocalisée2.

Contact :
– Xavier Compain (PCF), 06.81.00.87.83
– Laurent Levard (PG), 06.29.43.18.28

1 Voir la proposition de loi : http://www.assemblee-nationale.fr/13/propositions/pion3745.asp

2 http://www.placeaupeuple2012.fr/agriculture/

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